Nede arriva tant bien que mal à Oakvale et pour une fois la tâche allais lui être plus facile à accomplir puisque cette paisible ville protégée par des tonnes de gardes étaient à l'abri de toute menace. Il s'empressa d'atteindre la plage ouest et creusa là ou la terre était retourné puis trouvant un coffre par terre il l'ouvra et il y découvrit un gros... RIEN !!! Le coffre était vide quelqu'un avait passé ici avant lui et avait prit le Katar. Nede prit de rage lanca le coffre et un bout de papier en tombît. Une lettre adressé à lui de la part ... D'ILLAURIAS. Cette lettre allait comme suit :
"Cher inconnu je m'appelle Illaurias premier commandant de l'armé de Deux-Lames, ce que vous recherchez m'appartient et je n'aime guère que les personnes volent mes objets de valeur. Je vous laisse 3 jours pour replacer tout les objets que vous m'avez volé ou je tue Eden. J'espère que vous comprendrez Nede.. -Cordialement Illaurias-"
Nede utilisa un sort sur la lettre lui permettant de savoir l'emplacement de la personnes qui l'avait écrit, elle se trouvait à... Oakvale tout près de lui... Trop près de lui... DERRIÈRE LUI. Il se retourna en dégainant son arme et para un coup d'épée provenant d'Illaurias qui avait tenté de le prendre par surprise.
"Bon réflexe Nede, maintenant donne moi les armes ou je vais tuer Eden."
"Jamais pauvre idiot, je suis plus fort que toi et tu le sais. Lors de notre dernier affrontement je n'étais pas en mesure de te combattres mais aujourd'hui la puissance d'Eden est en moi. Je te tuerai et ensuite je relâcherai Eden."
Nede et Illaurias commencèrent une bagarre très violente et les garde firent aussitôt mit au courant. Ils arrivèrent sur la plage et virent les deux hommes se battrent tel des lions pour un morceau de viande. Il dégainèrent leur épée et leur arbalète et crièrent :
"Messieur vous violez en se moment trois des règles régissant ce village. Vous devez sans contester vous rendre ou nous vous abbaterons ici-même. Je compte jusqu'à trois."
"1"
"2"
"..."
Le garde reçu un coup de hache derrière la tête et s'éffondra par terre. Derrière le reste des gardes une horde de bandits dévalaient la colline pour aider leur maître Illaurias. Une guerre commenca entre les brigands et les défenseurs de l'ordre alors que Nede et Illaurias étaient toujours en train de s'affronter dans un duel plus que mortel. Nede tenta de blesser Illaurias à la tête mais celui-ci esquiva de peu le coup mais se fit trancher une oreille. Criant de douleur Illaurias sauta sur Nede et réussi à lui couper légèrement le bras. Les deux hommes étant blessé il reculèrent de quelques pas et se regardèrent dans les yeux avant de recommencer à se battre. Nede avait toujours le dessus sur Illaurias lui bloquant c'est coup et le frappant avec c'est poing, Illaurias tenta de se sauver sachant que la bataille était perdu mais Nede fit poussée assassine et devanca l'homme qui s'enfuyait et lui donna un bon coup d'épée au torse. L'homme s'écroula et s'appercu que tous ses hommes avaient tués les gardes or il ordonna à ses brigands d'abattre Nede. Nede recu aussitôt une flèche dans le dos. Mais pu se relever et tuer un bandit qui courait vers lui pour l'atteindre avec son épée. Les bandits étaient trop nombreux et Nede trop blessé pour les combattrent. Il laissa tomber son arme et se mit à genoux. Les bandits avancèrent vers lui arme à la main prêt à le faire souffrire et d'un coup de sifflet les bandits surpris regardèrent autour d'eux et virent des garde rouge et noir s'avancer vers tous les bandits de dispercèrent il n'y avait plus que Nede et Illaurias. Nede empoigna Illaurias par le chandail et lui prit le Katar dans les poches il le menaca pour que celui-ci lui dise ou se trouvait l'habit d'Eden. Illaurias n'eut autre choix que de lui répondre il était dans le witchwood non loin du temple d'Avo. Illaurias maintenant debout repoussa avec peine Nede et lui dit d'une voix tremblante :
"Nous nous reverrons mais la prochaine fois l'issue du combat sera très différent." Puis il se téléporta.
Nede n'avait autre choix que d'en faire autant puisque les gardes l'auraient arrêté.
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